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Mediterranean aquaculture is currently facing economic difficulties as a result of the competition between countries and some market saturation. Tunisia invested in the sector and is currently promoting the diversification of production as an answer to the crisis. National research is investigating the domestication of several high-value indigenous fish, whereas exotic species have also been introduced, namely, tilapia and whiteleg shrimp. FAO is supporting the Tunisian Government by conducting an environmental impact and biosecurity assessment.
L'aquaculture méditerranéenne a développé la production et la commercialisation de plusieurs especes de poissons, mollusques et crustacés, en répondant aux exigences technico-productives et aux attentes des marchés. La dorade royale (Sparus aurata), le loup (Dicentrarchus labrax), le maigre (Argirosomus regius), la moule méditerranéenne (Mytilus galloprovincialis), les huîtres plates et creuses (Ostrea edulis, Crassostrea gigas) et les palourdes (Ruditapes decussatus, Ruditapes philipinarum, Venerupis pullastra) sont considérés comme les especes les plus maltrlsées sur le plan technique. Pourtant, l'aquaculture méditerranéenne vit actuellement une crise de croissance. Sous l'effet combiné d'un environnement fortement concurrentiel et d'une surproduction latente, on assiste a la fragilisation de...